
Contrairement au 14 novembre 2004, l'accès au
Quai Wilson est cette fois barré par une barrière. A l'arrière, le port des Pâquis où les haubans des bâteaux sifflent fortement. Les bâteaux n'ont pas échappés aux embruns. La glace accumulée atteingant parfois la tonne, plusieurs bâteaux ont coulés, créant quelques nappes d'hydrocarbures.